Très jolie chapelle de très petite largeur. Elle ressemble à celles que l'on trouve dans l'avenir. Elle est composée d'un bloc de granit creusé dans la partie supérieure, de telle sorte qu'on puisse y nicher une statue. Elle est fermée par une grille. A l'intérieur on remarque le Saint en bois sculpté. Dans la partie supérieure juste en dessous de la croix, un coquillage à été sculpté pour rappeler le nom de Saint Jacques à qui cette chapellec est dédiée. Elle devrait se trouver sur une route empruntée par les pèlerins se rendant à Saint Jacques de Compostelle. Cette chapelle située au beau milieu de nulle part, où on doit emprunter des routes avec des pavés de mauvaise qualité est difficile à trouver pour ceux qui ne la connaissait pas.
Accès par l'itinéraire du GR65 Chemin de Saint Jacques voie du Puy étape entre Saint Palais et Saint Jean Pied de Port via le village gite hospitalier d'Ostabat Asme
(Traduit par Google) Très belle chapelle, mérite vraiment une visite ! Nous avons marché ici depuis Fresse Sur Moselle, 3 km aller-retour et 3 km retour. Il faisait chaud, mais c'était gérable à 28°C
(Avis d'origine)
Erg mooi kapelletje, zeker de moeite waard om heen te gaan! Wij zijn vanaf Fresse Sur Moselle hierheen gelopen, 3km heen en 3 terug. Wel warm maar het was goed te doen met 28°C
Une des 7 Sainte-Chapelle. Une architecture raffinée et originale, influencée par les maîtres architectes italiens, comme nous l'explique le monsieur enthousiaste et passionné qui s'occupe de l'entretien du domaine. De grands vitraux du 16ème remarquablement bien conservés offrent beaucoup dé luminosité à cet édifice. Cette Sainte-Chapelle a traversé les siècles pour nous parvenir en bon état, ayant échappé plusieurs fois à des risques de destruction ou de pillage.
Le château, dont on peut visiter une grande partie aujourd'hui est meublé et habité une partie de l'année par ses propriétaires américains (depuis l'année 2000). Ces derniers ont beaucoup investi dans ce domaine classé monument historique et lui ont rendu son lustre.
Le groupe japonais qui le possédait avant, avait commencé à le dépouiller comme tous les autres sites historiques que ce groupe avait acquis en France.